"Quand on se reconnaît, il n'y a plus de place pour la jalousie ni l'envie. Nous prenons notre juste place et constatons que l'univers a prévu une juste place pour chacune et chacun et que personne n'est en concurrence avec personne.
Le bel ordonnancement du monde se fait à partir de l'essence particulière de chacun, qui, si elle est reconnue et déployée, crée un monde d'harmonie et de paix."
Diane Sourcière, pensée du 26 décembre 2021
La grande force de l’ombre aura été de nous faire croire que nous étions opposés. Nous poursuivions en réalité les mêmes buts.
Vous souhaitiez rester en santé, les autres aussi,
Vous souhaitiez vivre libres, ils souhaitaient retrouver leur liberté d’avant,
Vous souhaitiez la paix et l’Amour entre les humains, ils souhaitaient l’unité.
Alors ne faites plus le jeu de l’Ombre. Ne voyez plus en l’autre un ennemi qui souhaite nuire à vos besoins fondamentaux, il a les mêmes besoins à satisfaire.
Nous sommes tous frères, et à l’endroit des besoins, nous pouvons nous retrouver unis.
Trois choses que l’ombre déteste : l’Amour, la Paix et la Joie.
Alors cultivez ces vertus d’abord en vous, en votre cœur, puis rayonnez-les, quels que soient vos différends.
Reconnaître que l’autre cherche à satisfaire les mêmes besoins que soi, c’est déjà faire un pas vers l’harmonie et l’Amour universel.
Diane Sourcière,
Pensée du 26 novembre 2021
De même que ce sont souvent les chiens les plus craintifs et les plus petits qui aboient le plus fort, de même, plus l’ombre perd du terrain, plus elle fait du bruit pour faire croire qu’il n’en est rien.
L’attitude la plus sage est alors de l’ignorer et de continuer tranquillement son chemin sans se laisser dévier.
Au contraire, si vous lui accordez votre attention, vous allez lui donner l’importance qu’elle n’a pas.
L’ombre n’a jamais le pouvoir qu’on veut bien lui prêter.
Alors soyez conscient du danger potentiel que représente le chien qui aboie, soyez prudent et continuer à avancer.
N’oubliez jamais que les chiens aboient et la caravane passe.
Diane Sourcière
Pensée du 09 novembre 2021