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Pensées
 

Les défis du présent ne se règlent pas avec les outils du passé.

Les défis du futur ne se règlent pas non plus avec les outils du présent.

Il est donc inutile de s’inquiéter de la façon dont vous allez régler les défis que vous supposez que vous aurez à relever dans l’avenir car vous n’avez encore aucune idée des ressources qui seront mises à votre disposition le moment venu.

Et vous n’avez aucune idée non plus de la réalité de ces défis à venir.


Diane Sourcière, Pensée du 24/05/2022

Si vous ne pouvez pas aller dans l’acceptation, observez à quel point la non-acceptation est souffrance.

Chaque fois que vous refusez d’accepter ce qui est, que vous souhaitez changer le cours des choses, ou encore vous considérez comme victime d’une injustice, vous ajoutez de la souffrance à une situation inconfortable que vous vivez.

Observez bien ce moment où vous refusez ce qui est et la souffrance que cela génère en vous.

Par cette reconnaissance de l’effet induit par la non acceptation peut-être pourriez-vous commencer à cheminer vers l’acceptation.

Diane Sourcière, Pensée du 21 mai 2022

Il n’y a rien de plus agaçant, et surtout de plus inefficace, que de s’entendre dire qu’il faut lâcher prise, ne serait-ce déjà que parce qu’il y a contradiction dans la forme même qui est injonction à faire d’arrêter de vouloir faire.

Peut-être peut-on commencer à approcher le lâcher prise par son contraire, le non lâcher prise.

A chaque fois que vous sentez que vous vous accrochez à quelque chose, qu’il y a une tension physique en vous, un attente, ou encore une exigence, vous êtes dans le non lâcher prise.

Vous entrez dans cette zone qui est celle de la souffrance, souffrance de l’ego qui veut ce qui n’est pas, qui souhaite rester aux commandes coûte que coûte, qui n’accepte pas ce qui est.

Un premier pas vers le lâcher prise pourrait être de prendre conscience de cet état de tension interne dans lequel le non lâcher prise nous amène.

Dès lors que vous avez pris conscience, vous pouvez en faire un objet de méditation, et qui sait, peut-être des espaces de lâcher prise s’ouvriront-ils en vous ?

Diane Sourcière, Pensée du 17 mai 2022


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